jeudi 22 août 2013

"Les joies du sport", récit d'une ex-feignasse !

Pour quelqu’un qui pensait ne tenir qu’à peine 5 minutes en courant, il faut dire que j’ai fait de remarquables progrès.

Mon histoire avec le sport est digne d’un scénario hollywoodien, ou presque. Avant, le sport, malgré toutes ses tentatives pour me charmer, n’a jamais réussi à me convaincre de son utilité. Pour moi, le sport était synonyme de surmenage inutile, de sueur abondante, et de « chouih publique ».

En même temps, je dois avouer que je n’ai jamais ressenti le besoin de m’investir dans une telle activité, étant donné que je suis du genre à me goinfrer sans relâche sans que ça se voit sur mon corps (je suis une grande chanceuse, oui).

D’ailleurs, j’ouvre une parenthèse pour transmettre un message à toutes les filles qui se croient grosses : CROYEZ-MOI, VOUS NE L’ÊTES PAS. Du moment que vous n’êtes pas obèses, et que ça n’affecte donc pas votre santé, il n’y a vraiment aucune raison qui vous oblige à vous priver d’un quelconque plaisir culinaire et à souffrir en silence à cause d’un surpoids imaginaire. Vous êtes belles, alors à moins que vous vouliez suivre le même chemin de celle-ci :


Je vous conseille de profiter de la vie et de ce qu’elle a à vous offrir.

Revenons à mon histoire.

Etant entourée de gens qui pratiquent le sport (famille, amis, etc), il m’est devenu indispensable de m’engager dans un sport. Et puis, pourquoi pas ? José Garcia l’a bien dit : « Le sport développe la molécule du plaisir », autant s’y mettre ! Maintenant qu’on en parle, vous ne trouvez pas que José Garcia ressemble un peu à Robert Downey Jr. ? Non ? Je la ferme ? Ok.

Bref ! Je n’ai pas hésité très longtemps, j’ai toujours adoré nager. Pour le plus grand plaisir de mes parents, je me suis donc inscrite dans un club, où je pratique à ce jour la natation.

(http://tagadiane.wordpress.com/)

Mais bon, vous savez ce que c’est, avec les fêtes, on a beau être maigre, notre bide n’est pas forcément toujours d’accord avec nous !

(http://www.marygribouille.net)

Un jour, lors d’une conversation banale sur Twitter, je me suis rendue compte que je ne dépasse pas 5 minutes en courant. Ca m'a un peu rappelé une des anecdotes de Margaux !



HIER, J’AI DÉCIDÉ DE CHANGER ÇA.

(http://www.penelope-jolicoeur.com/)

Résultat : j’ai couru 3 kilomètres. Je ne vous cache pas que mon état était pitoyable à la fin, mais qu’est-ce que je m’en foutais. J’étais toute rouge, j’avais la gueule grande ouverte, j’étais pliée en deux, j’avais le vertige, but I DID IT.


Morale de l’histoire : Bougez vos culs. 
Le seul moyen de connaître ses limites, c’est en les dépassant.

1 commentaire:

  1. Franchement tu m'as remonté le moral :D Moi aussi j'aime pas le sport, c'était toujours ma bête noire au collège et au lycée ( mais malheureusement je ne suis pas aussi chanceuse comme toi.... tu sais de quoi je parle :D ) et si tu veux que je partage avec toi mon expérience et ben tiens donc: je décide toujours d'aller courir le matin très tôt, mais je finis par l'annuler, je change mon avis directement après la sonnerie de mon alarme :D hahahahah
    Ah oui Merci pour ton p'tit conseil ( pour les filles qui se croient grosses) :p

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